Dent : l'Ultime Combat
Hier soir, je croyais bien m'en sortir : erreur ! lourde erreur ! kolossal conzpirazionn comme dirait De Funès. La douleur est arrivée vers 20H et à celle-ci venaient se rajouter des interdictions diverses TRÈS agaçantes
-interdiction de manger autre chose que du frois et du mou. Total, depuis hier soir, je me nourris uniquement de crèmes vanilles (j'ai timidement essayé cette nuit une rondelle de saucisson :ça passe pas ; et ce matin une part de clafoutis abricot : impossible d'ouvrir la bouche assez haut !)
-interdiction, donc, de boire du thé chaud.
-interdiction de fumer.
Bref, douleur + interdictions diverses, j'ai essayé de dormir dès 20h30, lorsque je me suis aperçu que je produisait plus de salive/minute qu'un troupeau d'escargots réunis.
Sans oublier un fort mal de gorge qui rend ces décalitres de bave douloureux à avaler (si quelqu'un pouvait m'expliquer pourquoi une anesthésie et une extraction dentaire entraînent une irritation de la gorge, il serait bien urbain de m'en informer).
Il est 10h35, les 250 médocs que j'ai pris ce matin semblent améliorer légerement la situation (je vais, soyons fous !) tenter à nouveau le clafoutis.
C'est con, en tout cas, j'avais une super-idée de billet sur la crise, expliquée simplement (parce que les explications techniques, c'est du jargon sans intérêt). On me dit que la douleur s'arrête au bout de 48 heures, j'ai donc bon espoir de redémarrer votre blog préféré d'ici là.
Courage, chers lecteurs, plus que quelques jours à tenir, restez fidèles à l'organe central du PSR !
par notre Seigneur Jésus, je t'ordonne de sortir, Satan !
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