la thèse du GIEC détruite en deux cartes
La première carte concerne la température moyenne sur les 12 derniers millénaires. On constate que l'on sort d'un "mini-âge glaciaire" qui a commencé vers 1250 av. J.C. (période de troubles, d'âges sombres ou disparurent les grands empires de l'antiquité, détruits par ces mystérieux "peuples de la mer", dont on ne sait presque rien) et s'est poursuivi jusqu'au XIXe siècle. Pour l'instant, la courbe remonte, mais l'on peut craindre qu'il ne s'agisse que d'un répit avant la course vers un nouvel âge glaciaire ; à ce titre, l'évolution récente du Gulf Stream est assez inquiétante.
Deuxième graphique : celui du volume des glaciers. Comme on le voit ci-dessous, ce volume n'a cessé de croître depuis dix mille ans. Une légère baisse n'est donc pas si grave que ça. (courbe en rouge)
Troisième graphique, concernant le (trop) fameux dioxyde de carbone (ce gaz produit dans une portion infime par l'Homme et qui appartient pour une part infime aux gaz à effet de serre, c'est pour vous dire le grotesque de toutes ces mesures "anti-CO2" qui cachent des intérêts industriels qui m'échappent, mais n'échappent pas à tout le monde!).
On constate sur ce graphique que là encore, rien de nouveau sous le soleil : comme pour les glaces, la hausse du CO2 est constante depuis 15 000 ans. Au passage, cela contredit radicalement les thèses du GIEC pour qui la hausse du CO2 entraîne la hausse des températures et la baisse des glaces. L'histoire longue démontre exactement l'inverse ! Depuis le néolithique, la hausse du CO2 est concommitante avec la hausse des glaces et la baisse des températures.
évolution du taux de dioxyde de carbone (ligne verte, temps présent à gauche, temps passé à droite