30 avril 2011
un poème de George Orwell
Brusquement, le vent fulminant balaie Les peupliers flexibles, depuis peu dénudés. Et les noirs rubans des cheminées Virent au sol ; effleurées par des fouets d'air Des affiches déchirées flottent ; froidement résonnent Grondements de trams et ferraillements...